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BIOGRAPHIE

JACOB WILD est un One Man Band "homme orchestre". Retiré depuis quelques années « into the wild » dans le sud de la france, c'est dans une cabane perchée dans un arbre qu'il trouve l'inspiration pour écrire et jouer ce qu'il appelle le Wild Blues. Il chante, joue de l'harmonica et de la guitare sur 2 amplis guitare et  1 ampli basse, batterie complète aux pieds (grosse caisse, caisseclaire, tom, charleston et cymbale). un premier CD demo voit le jour en 2017 "wild!wild!wild!" intuitif et sauvage aux sonorités garage, stoner et blues. Il sort de sa tanière un véritable album intitulé "TIME TO CHANGE" à l'automne 2021 avec un concept "story" qui lie les 11 morceaux de cet album racontant les raisons de son exil vers la nature. en septembre 2023 il sort en vinyl une version re-arrangée et re-enregistrée de ses tout premiers morceaux.  Pendant l'hiver 2024 il se cloitre dans sa cabane perchée pour écrire et enregistrer son 3eme album intitulé "Tales from the deep forest" qui sortira en vinyl au prntemps.

En concert c'est un seul homme à 200% qui fait autant de son qu'un groupe. Il joue quelques classiques du blues rockà sa sauce wild jusqu'à ces compos les plus frénétiques… Attention aux luxations de genoux ! 

PRESSE

zicazic(freddelforge)09/23:

“… quand il s'est lancé en onemanband dans le blues en 2017 il enregistra a la roots un CD dans sa cabane en deux jours a tres peu d’exemplaires. Un deuxième album “Time to Change” confirmera la bonne tenue du projet artistique. avec des arrangements plus Wild blues dans l'esprit mais sans pour autant perdre une hausse de l'énergie communicative qu'il dégage en concert, en écoutant le vinyl de "wildwildwild" On se prend ainsi en pleine face quelques beaux camouflets comme “I got mine”, “no time to do”, “hello blues”, “got the wild feeling” des pièces originales qui rappelle à quiconque aurait pu en douter qu'un musicien déterminé est capable de dégager plus de puissance et de volume qu'un groupe entier et il faut bien reconnaître qu'à ce jeu Jacob Wild en connait un rayon ... Wild Wild Wild ne pourra que satisfaire un public adepte de blues pas trop propre sur lui et bien évidemment fondu de vinyles. un futur collector à se procurer d'urgence… 

BLUES&CO MAG(MARS2022) par tonton Erick: ...Jacob Wild n'est pas qu'un volcan à l'énergie débordante, c'est également un musicien complet et un compositeur inspiré qui sait raconter des histoires pleine de sens et générer une musique également raffinée et mélodieuse. Un album jouissif gorgé de blues proche de l’os, de gros son et d'énergie comme on n'en voudrait tant et plus. Une grosse claquerie tontonesque.

BLUES MAGAZINE(christophe Leboeuf)mars 2022: ... Un gros travail a été réalisé sur cet opus, ce qui nous fait complètement oublié le jeu en onemanband. Sa musique est un savant mélange entre le blues rock, le rock garage et le Rock Stoner. C'est particulièrement bien fait, et ce deuxième album mérite d'être écouté avec une oreille attentive. 

 

ZICAZIC(fred delforge)01/22: ...« Time To Change » est donc l’histoire d’une révolution intérieure, celle qui a poussé le citadin d’hier à devenir l’ermite qu’il est désormais, cette âme solitaire retranchée dans les collines de l’Hérault, sorte de Delta du Mississippi qui n’appartiendrait qu’à lui. Outre les onze titres présents sur l’album, Jacob Wild a fait l’effort de raconter cette histoire en version spoken words, un peu à la manière des griots africains ou des storytellers américains, et si l’on se régale sans retenue des « Bad Deal Of Good Neighborhood », « A Last Go Downtown », « Plastic Earth », « The Drunk Blues », « Saved By The Mountain » et autres « Born A Second Time », on profite agréablement grâce au QR code d’un véritable récit que l’artiste a eu le bon gout de traduire en Français pour ceux qui ne maitrisent pas parfaitement la langue de Robert Johnson. Au bout de la route, c’est un très bel ouvrage qui se présente à nous, un album à la fois très personnel et très ouvert qui partage une expérience, un ressenti, au travers de quelques tranches de blues, de boogie et de rock, le tout sur fond de guitares tranchantes, d’harmonicas pleins de sincérité, de percussions sobres mais efficaces et de chant plein de nuance et de sens. En attendant une version vinyle pour avril, on vous recommande chaleureusement son pendant CD ou digital. Du bon gros son roots comme on l’aime ! 

CAFZIC_de yann: ...Personnellement j’aime bien l’énergie qui se dégage de tout ça, ça respire la fraîcheur, la spontanéité avec ce qu’il faut de crasse et d’ancêtres envahissants.

  LITZIC par Patrick : Avec Wild wild wild, Jacob Wild met tout le monde d’accord, rallie les désabusés du blues à sa cause tout en satisfaisant les puristes. ... Impossible de résister, le beat nous prend aux tripes, électrise notre système nerveux et nous donne envie de slammer dans une fosse en délire ... cette musique respire une authenticité dingue, quelque chose de plus pur ...on se dit que nous avons affaire à une véritable âme de révolté, qui perpétue une tradition universelle, de celle qui nous rend si… wild.

         BLUES&CO n87 - de Tonton Erick  ...Une musique puissante qui ne laisse pas le ripaton insensible (c'est peu dire), une musique minimaliste, sans ornement ni chantournerie mais sacrément vivante et totale jouissive qui saura ravir les amateurs de Mississippi hill country.

NAWAKULTURE-de ged: JACOB WILD sort du fin fond de la forêt avec un premier disque remuant à souhait !Installé à Bédarieux, le guitariste des excellents MIKE HEY NO MORE de Montpellier s’est rapidement mis à la discipline des plus sportive du one-man-band : le bonhomme tabasse une batterie, gratte une guitare et chante en même temps un répertoire de blues rock garage et primitif teinté de rockab’, de psycho et de country. Sur Wild wild wild !, son premier album, douze titres sont rassemblés pour faire taper du pied les amateurs de rock primitif, un truc que l’on pourrait décrire comme un mix des CRAMPS, d’Hasil Hadkins et d’un bootleg du ZZ TOP des Seventies mais certains titres comme Passion & love ou Wild & crazy par exemple, peuvent surprendre par de chouettes mélodies presque grungy ou des passages brutaux franchement punk. La production tient carrément la route et la photo de couverture est franchement chouette, elle mériterait presque une version vinyle à elle seule.

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